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Le président de la République a estimé devant un parterre d’investisseurs internationaux que « si l’on rapproche différentes familles politiques qui n’ont pas l’habitude de travailler ensemble, cela fonctionnera ».
Emmanuel Macron a assuré jeudi 15 mai devant un parterre d’investisseurs internationaux à Paris que son « job pour les deux ans à venir » était d’assurer la « stabilité » dans le pays. « En France, nous avons besoin de stabilité. (...) Car si l’on rapproche différentes familles politiques qui n’ont pas l’habitude de travailler ensemble, cela fonctionnera, et c’est mon objectif, et c’est mon job », a plaidé le président, dans un discours en anglais.
« Si l’on regarde l’Allemagne et d’autres pays en Europe, c’est exactement ce qui se passe. Le chancelier allemand [Friedrich Merz] dispose d’une excellente coalition avec les socialistes et la droite. Et c’est ce qu’il faut faire en France pour consolider ce que nous avons fait », a-t-il ajouté.
« Mon objectif, c’est la stabilité et la durabilité parce que les résultats sont là en termes de création d’emplois et d’attractivité économique », a insisté le chef de l’Etat à qui l’on a beaucoup reproché d’avoir créé de l’instabilité par sa dissolution de l’Assemblée nationale il y a bientôt un an.
Emmanuel Macron s’exprimait au 20e anniversaire de la « Global Markets Conference » qui rassemble des investisseurs internationaux à l’invitation de Jamie Dimon, directeur général de la banque américaine JP Morgan Chase. Celle-ci en a profité pour annoncer une extension de ses locaux dans le centre de Paris pour accueillir plus confortablement son millier d’employés.
Cette conférence se tenait en amont du sommet « Choose France For Science », organisé lundi par l’Elysée au château de Versailles et à l’occasion duquel de nombreuses entreprises étrangères doivent annoncer de nouveaux projets d’investissements.
Jugeant qu’il y a « trop de domaines dans lesquels nous avons encore 27 systèmes de réglementation » dans l’UE, M. Macron a plaidé pour la mise en œuvre « rapide » des réformes décidées pour améliorer la compétitivité européenne, insistant particulièrement sur celle du marché unique de capitaux.
« Lorsque vous regardez le panorama, c’est totalement fou. L’Union européenne est le premier lieu en termes d’épargne. Mais nous n’utilisons pas cette épargne pour investir dans notre innovation rapidement. Un tiers de cette épargne part vers les Etats-Unis parce que les marchés sont beaucoup plus efficaces et parfois pour financer les obligations américaines. Je suis super content pour les Etats-Unis, mais je pense que ce n’est pas le meilleur usage de notre propre épargne », a-t-il ainsi déploré.
Le Monde avec AFP
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