Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
L’établissement bancaire a lourdement investi dans les infrastructures d’utilité publique au Royaume-Uni, dont les aéroports de Bristol, Birmingham et London City en juin.
Article réservé aux abonnés
En recevant sa facture d’eau en avril 2025, Laura (qui n’a pas souhaité donner son nom) a eu une mauvaise surprise. « Le montant mensuel était passé de 40 à 74 livres [de 47 à 87 euros], raconte cette Londonienne de 45 ans. Cela représente une hausse de 85 %. » Sa maison est desservie par Thames Water, une compagnie qui dispose d’un monopole sur l’approvisionnement en eau de la capitale britannique. En avril, elle a annoncé que les factures de ses clients croîtraient de 35 % en moyenne sur les cinq prochaines années.
Grevée par une dette de 19 milliards de livres, la société a négocié en février un refinancement d’urgence de 3 milliards de livres et trouvé un repreneur, le fonds d’investissement américain KKR. Mais ce dernier s’est retiré début juin, évoquant le mauvais état de ses infrastructures. « Ces déboires sont une conséquence directe de la période durant laquelle Thames Water était entre les mains de Macquarie, entre 2006 et 2017 », estime Gwyn Bevan, professeur de science managériale à la London School of Economics.
Cette banque australienne est l’un des principaux investisseurs dans les infrastructures britanniques. Elle y a consacré plus de 60 milliards de livres depuis 1999 et prévoit de débourser 20 milliards de livres supplémentaires ces cinq prochaines années, explique-t-elle dans un rapport paru en octobre 2024.
Il vous reste 76.01% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.