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Les Etats-Unis, premier producteur mondial de pétrole, n’en sont qu’à leurs balbutiements dans le secteur de l’éolien en mer : à peine trois petits parcs en fonctionnement pour produire de l’électricité renouvelable, dans les eaux fédérales. Et le pays pourrait en rester là pendant un certain temps encore. Le retour de Donald Trump à la présidence a stoppé net tout projet d’éoliennes en mer encore en phase de développement, c’est-à-dire avant même toute mise en construction.
De quoi contrarier les développeurs les plus actifs sur place : principalement des entreprises européennes, parmi lesquelles les grands énergéticiens français (EDF, TotalEnergies et Engie), le norvégien Equinor, l’allemand RWE, une filiale de l’espagnol Iberdrola, ainsi que le danois Orsted.
Dès son investiture, le 20 janvier, bien avant de durcir les droits de douane tous azimuts, M. Trump s’empressait de publier un « mémorandum » gelant permis d’exploitation et prêts fédéraux pour tout projet d’éoliennes en mer. Promesse de campagne vite mise à exécution. Entré en vigueur dès le lendemain, pour une durée indéterminée, le document invoque le souci de préserver tout à la fois la « vie marine » et l’« industrie de la pêche » – tout en acceptant d’octroyer des concessions en mer pour… du pétrole ou du gaz.
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