Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
Les avocats du consortium Neopar, éconduit dans sa tentative de reprise de la marque française, demandent une réouverture des débats au motif que son offre a été « délibérément entravée ».
Article réservé aux abonnés
L’histoire pourrait faire grand bruit au tribunal des activités économiques de Paris. Le cabinet de droit des affaires August Debouzy a demandé la « réouverture des débats » dans le cadre de la procédure de redressement judiciaire du Coq sportif, jeudi 26 juin, alors que le tribunal doit décider, vendredi 4 juillet, qui, de l’homme d’affaires franco-suisse Dan Mamane, installé à Dubaï, ou du consortium monté par le fonds Neopar, avec l’appui de l’américain Iconix, remportera la marque de sport française.
Cette PME, qui emploie 330 salariés, dont environ 150 dans son atelier de Romilly-sur-Seine (Aube), a été l’équipementier officiel des athlètes français sélectionnés pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris, en 2024. Un an après, le judoka Teddy Riner, l’homme d’affaires Xavier Niel (actionnaire à titre individuel du Groupe Le Monde) et des descendants d’Emile Camuset, fondateur de la marque, soutiennent l’offre de reprise de Neopar, qui s’engage à conserver 75 % du personnel.
Dans une lettre adressée au tribunal, Laurent Cotret, avocat au sein du cabinet August Debouzy, qui défend les intérêts de Neopar, dénonce le « processus (…) vicié par des manquements aux principes fondamentaux qui gouvernent la procédure collective » ouverte le 22 novembre 2024. Selon cette missive de quatre pages, le plan présenté par le fonds Neopar et ses associés, dont Airesis, groupe suisse de Marc-Henri Beausire, propriétaire du Coq sportif depuis 2005, a « été délibérément entravé, affaibli puis évincé en violation manifeste (…) du code du commerce ».
Il vous reste 59.81% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.