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A Oakland, le grand port de la baie de San Francisco, un tiers des porte-conteneurs manquent déjà à l’appel. Les camionneurs s’attendent au pire.
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A l’heure de la guerre commerciale, le port d’Oakland (Californie) – le dixième des Etats-Unis, le troisième de la Côte ouest – est en première ligne, à la merci des négociations entre les deux superpuissances de l’économie mondiale. De San Francisco, de l’autre côté de la baie, on aperçoit ses grues de 110 mètres de hauteur sur les Super Post-Panamax, alignées comme une forêt de géants métalliques. La Chine, à elle seule, représente 48 % des importations du site. L’Asie, 60 %.
Un tour en bateau des quatre terminaux montre une certaine activité. Au secteur international, le HMM Ruby, un mastodonte sud-coréen de 400 mètres de long, est à quai, chargé de plus de 13 000 conteneurs de 20 pieds (6,1 mètres), de couleur rose, blanche, bordeaux, assemblés comme des pièces de Lego. Le Maersk Altair, qui navigue sous pavillon singapourien, est en attente de déchargement. Les conteneurs sont soulevés par paires par les 33 grues portiques montées sur des rails, puis déposés sur les tracteurs portuaires qui vont les convoyer jusqu’aux aires où les attendent les camions. Un ballet qui ne s’arrête jamais.
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