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La direction nationale de la police judiciaire estime qu’en 2023, près du quart des enquêtes pour homicide ou tentative élucidées ont impliqué des individus âgés de moins de 20 ans.
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Nuit du 29 au 30 juin 2024, dans une salle des fêtes de Thionville (Moselle). Alors qu’une fête de mariage bat son plein, trois silhouettes vêtues de noir et le visage masqué sortent d’un véhicule, longent avec précaution le mur du bâtiment, puis épaulent leurs armes en direction d’un groupe de personnes en train de fumer à l’extérieur et ouvrent le feu. En rafale. Quatre victimes s’effondrent. L’une d’elles, « défavorablement connue des services de police », reçoit le coup de grâce d’un tir de pistolet appliqué à bout touchant. Tout en couvrant leur retraite par un feu nourri, les assaillants quittent les lieux en bon ordre, laissant derrière eux une cinquantaine d’étuis, deux morts et quatre blessés graves. Cet assaut donne le signal d’une série de répliques : une douzaine d’homicides et de tentatives à recenser à travers le département mosellan jusqu’à l’interpellation, par la police judiciaire de Metz, en octobre 2024, d’un individu central dans ce dossier judiciaire.
De plus en plus de villes touchées, des criminels de plus en plus jeunes, souvent recrutés grâce aux réseaux sociaux : la « violence exacerbée » des organisations criminelles inquiète les acteurs de la sécurité intérieure. Comme l’a évoqué Le Parisien, une note de la direction nationale de la police judiciaire, dont Le Monde a également pu avoir connaissance, détaille « l’augmentation des violences en France et le nombre de territoires touchés ».
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