Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
L’actionnaire de Pimkie s’est associé à la chaîne de mode masculine pour proposer de reprendre environ la moitié des 220 magasins Jennyfer.
Article réservé aux abonnés
Les 999 salariés de Jennyfer n’ont guère d’espoir. En dépit du dépôt d’offres de reprise partielle, mardi 13 mai, le personnel de l’enseigne placée en liquidation judiciaire depuis le 30 avril risque de subir l’un des plus gros plans de licenciements du secteur. Près de 700 postes pourraient être supprimés à l’issue de cette procédure.
Pour l’heure, Jennyfer fait uniquement l’objet d’offres partielles de reprise. La plus importante est portée conjointement par l’enseigne Celio et l’actionnaire de Pimkie, Salih Halassi. Tous deux proposent de reprendre une cinquantaine des 220 succursales qu’exploite Jennyfer. L’enseigne de mode masculine mettrait la main sur sept d’entre elles, pour les « transformer » en magasins Celio ou les basculer sous l’enseigne mixte de mode pour hommes et femmes que le distributeur développe depuis la reprise de la marque Camaïeu, d’après nos informations.
En décembre 2022, deux mois après la fermeture définitive des 550 magasins Camaïeu, entraînant la suppression de 2 600 emplois, Celio avait racheté aux enchères la marque de mode féminine pour un montant de 1,8 million d’euros. Puis, au sein du siège de Celio, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), une équipe de stylistes avait été chargée de monter une collection de vêtements basiques, dont des marinières produites en France au sein de la manufacture Marcoux Lafay, située dans la Loire. Les premières collections sont en vente dans une douzaine de magasins Celio en France depuis juin 2024 et en Espagne depuis mars 2025.
Il vous reste 70.28% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.