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Isabelle Chaperon
Propriété du chinois Geely, le britannique a démenti, samedi, envisager de relocaliser sa production de voitures de luxe aux Etats-Unis, son premier marché. Mais pris entre la fin programmée des moteurs thermiques en Europe et les droits de douane américains, il reconnaît « explorer activement » de nouvelles options, relève Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».
Publié aujourd’hui à 12h00 Temps de Lecture 1 min.
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La victoire du pilote britannique Lando Norris sur McLaren au Grand Prix d’Autriche de formule 1, dimanche 29 juin, serait-elle l’arbre à cames qui cache la forêt ? Pendant le week-end, une autre icône du sport automobile outre-Manche a frôlé la sortie de route dans le Norfolk, dans le nord-est de l’Angleterre.
Vendredi, en effet, plusieurs journaux britanniques ont affirmé que le chinois Geely, propriétaire depuis 2017 de Lotus, la firme créée en 1948 par l’ingénieur Colin Chapman, envisageait d’abandonner l’usine historique de Hethel afin de relocaliser la production de voitures de luxe aux Etats-Unis, menaçant 1 300 emplois.
Même si Lotus est un petit producteur comparé à Jaguar Land Rover, la fermeture d’un site bâti en 1966 autour d’une piste d’essai de la Royal Air Force constituerait un désaveu pour le premier ministre travailliste, Keir Starmer, au moment même où, lundi, entre en vigueur l’accord commercial bilatéral conclu avec Washington, faisant passer de 25 % à 10 % la taxe appliquée par les Etats-Unis sur les importations de voitures venues du Royaume-Uni.
Selon le Financial Times, le gouvernement britannique est immédiatement monté au créneau, de sorte que Lotus a affirmé, samedi, qu’il n’y avait pas de « plan pour fermer l’usine ». En revanche, le constructeur déficitaire a reconnu « explorer activement » différentes options pour assurer sa « compétitivité globale dans un marché mouvant ». Pas de quoi vraiment rassurer.
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