Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
Outre-Manche, plus de 80 % de ces institutions sont dirigées par des entités privées. Certaines hébergent les enfants qui leur ont été confiés dans des conditions insalubres, sans toujours leur prodiguer les soutiens nécessaires.
Article réservé aux abonnés
Le rapport d’inspection est digne d’un roman à la Dickens : « Les enfants vivent dans une coquille vide. Les parties communes du foyer exhalent une forte odeur déplaisante, elles sont sales, mal entretenues et il y fait froid. Il y a un trou dans le mur d’une chambre à coucher et il manque un tiroir à la commode. Une ampoule nue est suspendue au plafond. » Tels sont les mots de l’autorité britannique d’inspection des écoles et des foyers, au sortir d’une visite d’Ofsted, une maison abritant quatre enfants à Walsall, au centre de l’Angleterre, en janvier.
Cette résidence est gérée par le groupe privé Cambian, le plus important exploitant de foyers pour jeunes au Royaume-Uni, avec plus de 200 unités sous son égide. Il appartient à CareTech, une société sise à Nevis, dans les Caraïbes, détenue par les entrepreneurs d’origine kenyane Farouq et Hamon Sheikh et la société d’investissement Three Hills.
Contacté, Cambian indique par l’entremise de son avocat Jonathan Coad « opérer plus
de 190 foyers dont 81 % ont été jugés “bien” ou “exceptionnels” par l’autorité en charge de leur régulation », précisant que le groupe « investit des montants importants pour s’assurer que ses foyers soient maintenus au plus haut niveau possible ». Les manquements identifiés dans le rapport susmentionné « sont le résultat d’une défaillance de gestion et ont été immédiatement corrigés », assure-t-il.
Il vous reste 78.42% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.