Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?
Inscrivez-vous gratuitement
Depuis trois mois, les grandes entreprises du secteur ont promis d’investir plus de 230 milliards de dollars outre-Atlantique au cours des cinq prochaines années.
Article réservé aux abonnés
Ce n’est pas une averse mais un déluge. Après les laboratoires Lilly, Johnson & Johnson, Roche, Novartis et AbbVie, c’est au tour de trois autres géants de l’industrie pharmaceutique, les américains Bristol Myers Squibb et Gilead, et le japonais Takeda, d’annoncer, à quelques jours d’intervalle en ce début du mois de mai, des investissements de plusieurs dizaines de milliards de dollars aux Etats-Unis. De quoi ravir Washington. En moins de trois mois, les Big Pharma ont promis d’injecter près de 250 milliards de dollars (223 milliards d’euros) outre-Atlantique au cours des cinq prochaines années.
Si les fabricants de médicaments sont si prompts à sortir leurs carnets de chèques, c’est qu’ils entendent bien ne pas perdre pied sur le marché américain. Et pour cause : véritable poule aux œufs d’or, il pèse lourd dans le portefeuille des industriels pharmaceutiques. A eux seuls, les Etats-Unis concentrent plus de la moitié des ventes mondiales en valeur du secteur, soit plus du double du chiffre d’affaires enregistré sur l’ensemble du continent européen, pourtant fort d’une population plus nombreuse.
Il vous reste 63.81% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Découvrir les offres multicomptesParce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur « » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.